UN TRAUMATISME POUR TOUS
Et d’ajouter : “Regarder les enfants et ne rien pouvoir faire, c’est choquant. Je n’ai pas dormi de la nuit”.
UNE VIVE ÉMOTION
“Même là encore, je suis fort en moi, mais j’ai envie de pleurer”.
ILS N’ONT RIEN PU FAIRE
“Nous étions plusieurs à essayer d’ouvrir les portières, elles étaient bloquées. On a essayé de les faire plier par le haut…”
L’INCENDIE A COMPLIQUÉ LES CHOSES
“À mains nues, c’était déjà difficile, mais l’incendie était très violent, et avec les flammes qui grandissaient c’est devenu impossible”, a raconté au Parisien Aurélien, un automobiliste présent au moment des faits.
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